Un homme et une femme vivent une passion singulière, aussi ritualisée qu’extrême.
Le récit d’une emprise et de sa subversion.
Texte publié en 2004 dans la Collection blanche de Gallimard puis en 2005 en Folio.
Finaliste du prix Sade 2004.
Revue de presse
Un ténébreux poème autant qu’une étude presque clinique. L’oeuvre la plus impressionnante de Lamarche à ce jour.
Francis Matthys, La Libre Belgique.
Rien, ici, n’est inoffensif. Tout est dur, tranchant, cru, parfois insoutenable. Il y a dans ce flux, dans cette circulation du langage, le gage d’une inquiétante et parfois ironique liberté.
Patrick Kéchichian, Le Monde des livres.
Son style est si calculé, si précis, qu’on pourrait parler à son propos d’une syntaxe de la séduction.
Jacques De Decker, Le Soir.
Le petit charme du texte vient de l’ironie discrète de Caroline Lamarche, comme si elle vendait la mèche : le sadomasochisme est une passion popote. (…)
Pascal Bruckner, Le Nouvel Observateur, 13/02/04
Une passion exprimée avec beaucoup de force, mais aussi de singulière élégance.
Ghislain Cotton, Le Vif/L’Express, 20/02/04
Pour quiconque reste perplexe devant le goût de la souffrance et de l’humiliation, voici peut-être un des livres les plus capables d’en éclairer les arcanes. (…) Un juste dosage de précision, d’authenticité et de distance.
Claire Rostan, Elle, 23/02/04
C’est à une plongée au fond de l’âme humaine que nous convie Caroline Lamarche. Ce livre sèmera le trouble en celles et ceux qui oseront le lire. Un trouble profond, qui résonnera longtemps après la dernière page et le dernier chapitre, magnifique de retenue et d’émotion, comme tout le reste du livre.
Nicolas Ancion, Elle Belgique, mars 2004
Les très beaux Carnets d’une soumise de province sont également très politiques (…) Une belle et courageuse ambiguïté (…) Des situations très drôles, très humaines.
Arnaud Viviant, Les Inrockuptibles, 24/03/04
