Karl et Lola, Gallimard, 2007

Revue de presse

C’est l’histoire d’un frère et d’une sœur dans une ville dont l’industrie se meurt. Un fleuve, une fabrique, la canicule, deux pommes pourries, deux miroirs…

« Ils marchent sans savoir ce qui les fait marcher, pourquoi ils marchent ensemble ni quel projet les guide sinon l’instinct d’être ce qu’ils sont, c’est-à-dire rien, rien d’utile, rien qui guérisse ou soulage, rien que ce rien dont plus personne ne veut, l’état du monde aidant et filant vers le rien. »


Cliquez sur l’image

Une offensive délibérée sapant toute possible vision stable de nous-mêmes et du monde. Caroline Lamarche parle d’une voix parfaitement sienne, sans imiter qui que ce soit.                  
Patrick Kechichian, Le Monde des livres.


Un livre vénéneux et fulgurant, audacieux et coupant comme un rasoir.             
Christine Ferniot. Lire. Avril 2007


Un orage en 37 éclairs. Une porte sur la folie. Un ténébreux poème.                        
Francis Matthys. La Libre Belgique. 13/4/07


Roman à multiples fonds, d’une candeur trompeuse, d’une innocence factice qui tient à la clarté souveraine de la langue. Lamarche au sommet de son art.
Jacques De Decker, Le Soir.


Une esthétique noire ou bruissante. Un humour d’entre-deux, d’ironie et de provocation.  
Jeannine Paque, Le Carnet et les Instants.