L’Asturienne, Les Impressions Nouvelles, 2021


Publications récentes, Revue de presse / lundi, juin 20th, 2022

Caroline Lamarche déroule la saga d’une famille apparue à Liège au début de la révolution industrielle et pionnière de la métallurgie du zinc dans la province espagnole des Asturies.
Arpentant une époque qui annonce le grand capitalisme et son cortège d’inégalités, elle raconte les travaux et les jours de ces aventuriers, à la fine pointe d’une Europe
qui nourrit encore des rêves d’expansion.
Les fortes personnalités qu’elle aborde, les voix féminines qu’elle relaie, l’hommage rendu à un père qui lui a ouvert le chemin des archives, font d’elle l’héritière éclairée d’une légende familiale passionnante et cosmopolite. Les témoins vivants qu’elle sollicite bousculent le tableau et en questionnent les pans cachés dont elle rend compte avec lucidité, consciente d’être égarée entre deux mondes.

Revue de presse

Cliquez sur l’image

« Subvertissant le principe du récit familial, tirant le meilleur de la non-fiction, l’autrice construit un point de vue d’une granderichesse, où fusent par moments des traits littéraires dont on reconnait immédiatement le côté lamarchien. « Voilà à quoi jepense en déchiffrant, de plus en plus éprise de nos morts, ce qui, en une seule génération, a disparu de nos vies : l’écrituremanuscrite qui est à l’imagination ce que le corps est à l’amour.  » Les lettres sont comme le zinc ou le charbon, desmatériaux vibrants de possible, du temps passé ou futur.(…)  L’Asturienne se déploie d’ailleurs comme un filon ; continu, oblique, fusant dans des directions étonnantes. »

Thibault Scohier, En attendant Nadeau


« Caroline Lamarche n’est pas une descendante rangée et prend peu à peu ses distances avec l’épopée officielle. Et c’est dans l’évolution de ce regard que réside l’un des intérêts du livre. »

Frédérique Fanchette, Libération


« L’Asturienne”: une saga familiale et industrielle contée avec tendresse, précision et lucidité. » 

Francis Matthys, La libre


« Tout ce qui inscrit une saga familiale dans l’histoire industrielle, sociale et politique se trouve réuni dans un récit fluide et pourtant marqué par de terribles secousses. » 

Pierre Maury, Le Soir


« Une quête mémorielle qui aura nécessité la passion des “vieux papiers”, de la patience, un amour pour l’écriture et une grande implication personnelle. » 

Pascale Seys, RTBF


« Dans le style élégant qu’on lui connaît, l’auteure reconstitue peu à peu une passionnante saga familiale. » 

Claudine Simart, Le Quinzième Jour


« L’Asturienne est un passionnant voyage avec des ancêtres qui ont tissé des légendes. Nos légendes.» 

Béatrice Delvaux, Le Soir


« Lamarche s’approprie les « rêves d’autrui », des rêves de révolte des ouvriers face à un paternalisme de plus en plus tentaculaire. Ces rêves prolongent un héritage économique disparu avec la mort de son père, dernier ingénieur des mines de la famille. Quand la dernière « larme de la mine » est coulée, que reste-t-il ? Dans une langue forgée par l’œuvre fictionnelle singulière que nous lui connaissons, Caroline Lamarche empêche, à travers ce récit documentaire minutieux et complexe, l’oxydation et l’oubli d’un passé industriel souvent appelé « glorieux » mais dont les conséquences sociales liment encore notre société. »

David Lombard, Karoo


Caroline Lamarche était l’invitée de David Courier sur le plateau de l’émission “Le Cour(r)ier recommandé”, le  vendredi 22 octobre 2021 sur BX1.

David Courier, BX1


« El resultado de todo ello es “L’Asturienne” (La Asturiana), un volumen que acaba de editarse por Impressions Nouvelles, de Bruselas, y que ha tenido una acogida extraordinariamente positiva en Bélgica y en Francia. En él Lamarche aborda con sensibilidad, humor y espíritu crítico el lado humano y terrenal de aquellos rutilantes empresarios que durante más de un siglo convirtieron a la RCA en una de las grandes empresas industriales de España, Francia y Bélgica. »

Mario Bango, La Nueva España


« Tant pis si l’image peut paraître un peu facile: Caroline Lamarche remonte jusqu’à la mine familiale pour y descendre à son tour, afin d’en extraire un très précieux minerai. […] C’est la première fois que l’autrice […] s’aventure dans ce qu’il est convenu d’appeler la “non-fiction”. Et ce livre, tramant au plus serré l’intime et l’histoire, sinon le politique, marque de fait un tournant dans son travail. » 

Bertrand Leclair, Le Monde des livres.


« Habituée de la fiction, Caroline Lamarche publie cet automne un récit, qui renoue avec ses origines liégeoises. L’Asturienne se penche sur le parcours de la société familiale naguère pionnière en métallurgie du zinc. L’occasion pour l’auteure de révéler des aspects intimes de ses ancêtres et de son enfance. » 

Angélique Tasiaux, Catho Bel


« Nous connaissons l’autrice douée qu’est Caroline Lamarche […]. Et nous aimons le style sensible qui est le sien. Mais, derrière ce style, il est une autre écriture reçue d’un père aimé et d’une autre tonalité. » 

Jacques Dubois, Diacritik


« En un mundo que idolatra lo nuevo y mira lo viejo con conmiseración, maravilla que se haya podido conservar casi intacta, desde 1833, la huella de la actividad ininterrumpida de una empresa y su continuadora. » 

Lola Galán, El País


« Ce livre d’enquête mêle, à l’histoire de cette compagnie minière, des souvenirs personnels et familiaux. Son père, ingénieur, en a été un des derniers dirigeants et d’autres membres de sa famille y ont tenu un rôle majeur. » 

Gérald Hayois, L’Appel


« Quand la dernière « larme de la mine » est coulée, que reste-t-il ? Dans une langue forgée par l’œuvre fictionnelle singulière que nous lui connaissons, Caroline Lamarche empêche, à travers ce récit documentaire minutieux et complexe, l’oxydation et l’oubli d’un passé industriel souvent appelé « glorieux » mais dont les conséquences sociales liment encore notre société. » 

David Lombard, Karoo


Revue de lecteurs sur Babelio


La Asturiana, traduction en espagnol de l’ouvrage par Silvia Moreno Parrado, parue en 2024 aux éditions KRK. Voir ICI.

Partager ce contenu