Cher instant je te vois. Éd. Verdier, 2024


Actualités, Littérature, Publications récentes, Revue de presse, Traductions récentes / mardi, mars 5th, 2024
Cliquez sur l’image

Découvrez les premières pages :

Le 7 mars 2024 est paru aux éditions Verdier Cher instant je te vois.

Inspiré par le lien de Caroline Lamarche avec l’artiste Margarida Guia, c’est le récit d’une profonde amitié conduite à son apogée par la proximité de la mort. Un abrégé de quelques mois vécus dans la radicalité du moment.

Avec une lucidité éclatante, Margarida envoie des messages du front auxquels la narratrice répond en lui donnant chaque matin la voix qu’elle lui réclame. Peu à peu se construit une narration qui évoque l’enfance portugaise de Margarida, son amour des mots et des sons, les êtres qu’elle protège, les créations qu’elle mène, l’hôpital, la lutte, l’effroi. Mais aussi le souvenir d’un jardin, la fidélité d’un petit chien, Baudelaire et Jeanne Duval, les migrants devenus frères.

Photo de couverture de Anne-Sophie Costenoble.

Aiguillonnées par l’urgence, ces pages incandescentes respirent la passion éperdue de la vie. Une métaphore pour notre temps et de la bonté en éclairs pour conjurer notre nuit.


Événements


Rencontres et festivals

  • Jeudi 16 mai 2024 á 19h rencontre á la librairie Les Yeux gourmands, 64 Avenue Jean Volders 1060 Saint-Gilles. Rencontre animée par Romain Detroy, entrée libre mais réservation recommandée par mail : librairie @lesyeuxgourmands be

  • Jeudi 25 avril 2024 de 17h á 19h rencontre-signature á la librairie Candide. 1-2 Place Brugmann, 1050 Ixelles.
  • Mercrefi 10 avril 2024 de 18h30 á 20h rencontre-signature á la librairie Pax á Liège. Librairie Pax : Pl. Cockerill 4, 4000 Liège. Informations et inscription ICI.
  • Samedi 30 mars á 19h rencontre-signature á Tram[e]. Pour l’occasion Caroline Lamarche a invité Laurence Vielle, poétesse, comédienne et autrice. Elles échangeront avec le public autour de la nécessité de la poésie aujourd’hui. Tram[e], Avenue Van Volxem 71 – Forest.


Revue de presse


« …l’autrice a écrit un long poème qui semble tenir à distance la mort. Il y a la douleur, oui, l’hôpital, mais surtout le sentiment d’être vivant arraché à chaque heure… »


« Caroline Lamarche orchestre avec intensité et retenue ce carnet de résistance arrimé à tout ce qui frémit, bourdonne, chante, résiste: la tendresse, la beauté, l’attention au vivant sous toutes ses formes et sous toutes les latitudes. »


 » Récit épistolaire d’un genre nouveau, Cher instant je te vois autopsie le crépuscule d’une femme atteinte du cancer et d’un monde en perdition.. « 


 » Cher instant je te vois, long poème narratif écrit dans l’urgence après que la mort a gagné, n’est pas une lamentation sur la perte de l’amie. C’est la vie même, captée au seuil de la disparition, avec son énergie particulière, ses sons, ses phrases magnifiques parce que lestées par la gravité du moment, ses façons de faire avec l’espoir et aussi avec la peur. On le reçoit d’une traite, comme on avalerait de la lumière…. »

Illustration de ©Tom Haugomat pour l’article du Monde.

« … Caroline Lamarche poursuit sa mise en mots des corps de femmes devenus proies. Le corps-proie est celui mangé par le temps ou la maladie, un corps toujours situé en regard des autres, migrants oiseaux animaux, ces amis entravés eux aussi par les servitudes d’une société délétère et que les vers libres de l’autrice portent dans l’espace, sur la crête tranchante d’un récit d’amour et de mort. »


  • Á l’occasion de la sortie de Cher instant je te vois, le numéro #251 (mars 2024) de la revue de littérature contemporaine Le Matricule Des Anges consacre un dossier á Caroline Lamarche.

Voir ICI.


« Caroline Lamarche signe un superbe récit sur les derniers mois d’une amie. »


« Avec Cher instant je te vois qui paraît chez Verdier ces jours-ci, Caroline Lamarche signe indéniablement un récit d’une bouleversante beauté. Chant crépusculaire à Margarida, l’amie qui peu à peu est emportée par l’horreur continue de la maladie, Cher instant je te vois voit, de manière aussi sobre que déchirante, accompagner la souffrance par la parole, le poème, le recueillement dans la nature. »



Audio / TV

  • Caroline Lamarche a été l’invitée de Créatrices. Créatrices est un voyage sensible et passionné dans l’univers de femmes artistes contemporaines. Podcast produit par Axelle magazine et réalisé, monté et mixé par Corinne Ricuort
  • « En nous parlant de Mel Moya et Caroline Lamarche, l’auteur dinantais Aurélien Dony nous plonge dans l’urgence et la force de la parole poétique. Sublime exutoire lumineux dans les moments les plus sombres ». Â voir sur Matele.be (04/04/2024).
  • « Cher instant je te vois », le splendide livre hommage de Caroline Lamarche à son amie décédée d’un cancer. Á ecouter dans l’émission La Matinale RTBF Musiq3 par Sophie Creuz.
  • Le brunch sur BX1 émission acceiillant un e invité.e pour un entretien au format long. Presentée par Sabine Ringelheim et Aline Walsdorff.

Voir l’émission ICI.


Blogs

  • La Viduité. Critiques littéraires de Marc Verlynde. « …Disons les choses au plus simple : nous sommes ravis, par ce livre, de sentir que notre capacité d’émerveillement — cette simple et nécessaire possibilité d’entrer en résonance avec un texte — ne se dissipe pas … »
  • Chronique de Camille Lucidi sur @lesvoyagesheures. « … Une de mes plus belles lectures de cette rentrée d’hiver qui porte les lumières du printemps. »

Traduction

L’ouvrage est disponible en néerlandais, traduit par Katelijne de Vuyst aux éditions Vleugels.

Voir également ICI

Revue de presse

  • Critique dans Het Parool, 24 avril 2024 par Dieurwertje Mertens. « Wat zeg je in godsnaam tegen een vriendin die op haar 48ste de dood aangezegd heeft gekregen? ».

Partager ce contenu